
Ceux qui croient que la question du génocide des Arméniens devrait être transférée aux historiens essaient en fait de transférer leurs obligations politiques à quelqu’un d’autre.
Peu importe à quel point cela est nié, il y a un peuple qui est devenu une victime et qui est encore négligé. Le gouvernement turc, craignant de verser des indemnités, nie le massacre, sans parler des allégations de génocide, qu’il qualifie de triste événement.
L’article du professeur agrégé Yilmaz Aksu sur les traces laissées par les Arméniens à Sghert est disponible dans son intégralité sur notre site.