Il est triste de voir que l’Institut national des défenseurs des droits de l’homme d’Azerbaïdjan, en la personne de Sabina Aliyeva, est occupé à justifier les actions criminelles de l’Azerbaïdjan contre l’Artsakh, qui ont conduit à une crise humanitaire et à des victimes innocentes en Artsakh. Le DDH d’Artsakh Gegham Stepanyan a écrit à ce sujet sur sa page Facebook.

« Suivant la logique de la machine de propagande du gouvernement azerbaïdjanais, Sabina Aliyeva diffuse délibérément des informations erronées et fait des déclarations sans fondement sur le transfert d’armes, de munitions et d’autres équipements militaires, y compris des mines, du carburant et des troupes de l’Arménie vers l’Artsakh » sans présenter aucun fait valable. De tels mensonges servent d’excuse pour préparer le terrain à de nouvelles attaques à l’avenir. En outre, l’Azerbaïdjan n’a pas le droit de s’ingérer dans les affaires intérieures de la République d’Artsakh et d’exiger la dissolution des institutions de l’État, de la police et de l’Armée de défense d’Artsakh.

Sabina Aliyeva n’a pas dit un mot sur le blocus illégal de trois mois de 120 000 citoyens d’Artsakh, dont 30 000 enfants, organisé par le gouvernement azerbaïdjanais. Malgré les appels d’un certain nombre d’organisations intergouvernementales et non gouvernementales internationales prestigieuses, d’acteurs étatiques et non étatiques pour débloquer le mode de vie de l’Artsakh, l’Azerbaïdjan continue de nier ouvertement et sans vergogne la réalité de la crise humanitaire.

« J’attire également l’attention des organisations internationales sur l’activité du commissaire aux droits de l’homme d’Azerbaïdjan, qui est loin de protéger les droits de l’homme et, au contraire, est utilisée pour justifier les violations des droits fondamentaux des personnes », a écrit Stepanyan.

L’Arménie Occidentale, agissant en tant que défenseur de la protection des droits de l’homme sur diverses plateformes internationales, condamne maintenant fermement les actions de l’agresseur azerbaïdjanais, qui ont conduit à des violations flagrantes des droits de l’homme et à une crise humanitaire.

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