
Rien d’étonnant, les terroristes azéris, violant une fois de plus les soi-disant obligations assumées par la déclaration tripartite du 9 novembre 2020, le 25 mars dans le secteur Chouchi-Lisagor violaient la ligne de contact établie par le même document et assuraient un certain avancement positionnel dans le territoire de la République d’Artsakh.
Le siège de l’information de l’Artsakh a diffusé un message à ce sujet.
« Les autorités de la République d’Artsakh ont immédiatement informé le commandement des forces russes de maintien de la paix d’une autre violation flagrante des dispositions de la déclaration tripartite, compte tenu de la mission et des fonctions assumées par elles dans ce document. Les autorités attendent des troupes de maintien de la paix qu’elles prennent des mesures concrètes pour éliminer les conséquences de cette violation et prévenir de nouvelles violations.
La fausse affirmation de la partie azerbaïdjanaise concernant l’utilisation de la route de montagne Stepanakert-Ghaibalishen-Lisagor pour le transport de munitions n’est qu’une excuse pour leurs prochaines actions agressives et destructrices. Avec cette même affirmation, le 5 mars, ils ont attaqué et tué trois policiers dans l’exercice de leurs fonctions officielles et en ont blessé un autre », indique le rapport.
Par cette nouvelle escalade de violence, les terroristes azéris, poursuivent leur programme ethnocidaire sous les yeux de tous y compris des Russes qui de leur poste au Centre de surveillance conjoint russo-turc à Aghdam observent la situation.