La Fondation du Centre pour le droit et la justice « Tatoyan » a publié un message concernant les récents événements en Artsakh.
En particulier, il est dit dans le message :
« Le 4 avril, au 114e jour de blocage de la route de la vie en Artsakh, les agents du gouvernement azerbaïdjanais ont terrorisé 27 citoyens allant de Goris à Stepanakert et ont empêché leur mouvement. Des « éco-activistes » azerbaïdjanais ont fait irruption dans des voitures, terrorisé et menacé les gens. Afin de donner la possibilité d’entrer en Artsakh, les « éco-activistes » azerbaïdjanais ont illégalement posé des conditions préalables : « accepter la citoyenneté azerbaïdjanaise » et contrôler toutes les personnes.
Ce qui s’est passé prouve une fois de plus que les « éco-activistes » qui ont bloqué le mode de vie en Artsakh n’ont rien à voir avec la protection de l’environnement ou de la nature. Ces « éco-activistes » agissent à l’instigation des autorités azerbaïdjanaises et sous leurs auspices, poursuivant des objectifs politiques. Les « éco-activistes » qui ont bloqué le mode de vie en Artsakh sont remplis de haine envers les Arméniens, et s’affairent à prêcher l’hostilité des autorités azerbaïdjanaises.
Ce qui s’est passé prouve une fois de plus que les agents du gouvernement de Bakou, les « éco-activistes », créent les problèmes les plus graves en Artsakh et tentent d’induire en erreur la communauté internationale avec de fausses mesures humanitaires dans ce contexte.
Tous les faits sur les véritables intentions des « éco-activistes » qui ont bloqué le chemin de vie reliant l’Artsakh à la région de Syunik et au monde extérieur et le lien direct avec les autorités azerbaïdjanaises ont été présentés par le Centre « Tatoyan » pour le droit et la justice et le défenseur des droits de l’homme d’Artsakh dans un rapport de 300 pages, qui a été envoyé aux structures internationales. Cette déclaration sera également envoyée aux organisations internationales. »