« En l’honneur de mon père, je dirai seulement qu’il a été une sorte de soleil moral pour le Nakhitchevan pendant 30 ans, répandant la lumière et la vérité autour de lui. Le respect général et la surprise qui entouraient mon père semblaient le rendre pharisaïque, pharisaïque, égoïste, mais ça ne s’est vraiment pas passé comme ça, mon père est toujours resté modeste… ».

Raphaël Patkanian

Comme le prouvent les éminents ambassadeurs des études littéraires, pendant plus d’un siècle, le clan Patkanian a joué un rôle exceptionnel dans l’histoire du progrès de la pensée publique arménienne. 

Les talentueux représentants de cette dynastie, Serobe, Gabriel, Mikael, Raphael et Kerobe Patkanian, ont rendu des services inestimables dans le domaine du développement de la nouvelle langue nationale arménienne et de la littérature, de l’école, de la pédagogie, du théâtre et de l’historiographie arménienne. L’un de ces gens reconnaissants, Gabriel Patkanian, était considéré comme un « martyr vivant » par les biographes. 

Étant une personne dotée de spiritualité nationale et de compassion, il a aidé les pauvres villageois avec des céréales achetées avec l’argent de l’église, a soulevé la question de la responsabilité de l’argent de l’église, ce qui serait la raison de son expulsion du collège.

Il a compilé des manuels, des dictionnaires, des calendriers, écrit des ouvrages bibliographiques et religieux. Il a laissé un riche héritage littéraire. Le fervent de la cause nationale a également laissé derrière lui des études historiques : « Histoire de la nation arménienne », « Roman sur l’histoire de la nation arménienne ». Son œuvre « Hishtakaran » est un héritage précieux qui, par son inclusion, son abondance de faits et sa maîtrise du style d’écriture, se classe parmi les phénomènes significatifs de notre nouvelle littérature.