L’Azerbaïdjan a demandé l’expulsion des militants arméniens de Dadivank.

« Les moines arméniens devraient quitter Dadivank (ou monastère de Khudavank) », a déclaré Mubariz Gurbanli, président du Comité d’État pour le travail avec les organisations religieuses.

Le président a déclaré que « les Arméniens n’ont rien à voir avec ce monastère » car il « appartient à l’Albanie du Caucase, et tôt ou tard il sera contrôlé par la communauté religieuse albanaise-oudienne ».

Ainsi, les autorités azerbaïdjanaises ont commencé à détruire massivement le patrimoine culturel et religieux arménien dans les territoires occupés.

La réponse du gouvernement est claire, le monastère de Dadivank et ses khatchkars sont arméniens depuis leur création. Avec la destruction du cimetière de Djugha le monde a pu constater l’application de la solution finale vis-à-vis du patrimoine arménien, cette politique de convoitise pour s’accaparer le patrimoine d’une nation autochtone ou sa destruction se poursuit également aujourd’hui en Artsakh.