Le Parlement européen a publié la résolution adoptée le 13 juillet sur les propositions de réforme des règles de transparence, de responsabilité et de lutte contre la corruption, qui fait également référence à Bakou.

Selon « Armenpress », parmi les violations commises par d’autres pays et organisations, parmi les points de la résolution, il est également mentionné que Bakou a mené des actions contre les députés de l’APCE, ce qui soulève de sérieux soupçons d’influence et de corruption à grande échelle. Il est également noté que « Bakou a réussi à empêcher l’enquête liée à ses élections, ainsi qu’à dissimuler ses violations des droits de l’homme ». 

Le gouvernement d’Arménie Occidentale rappelle qu’immédiatement après la guerre de 44 jours en 2020, notre gouvernement a condamné et condamne la politique génocidaire et agressive de Bakou envers l’Artsakh et son peuple, qui fait partie de l’Arménie Occidentale. Il est connu de toute l’humanité que les autorités de Bakou sont une structure illégale, créée sur le territoire d’autres peuples, et continuent à ce jour la politique d’assimilation forcée. Dans les données officielles du recensement publiées par Bakou, il n’y a ni Laze, ni Talyshes, ni Tatars, ni Kurdes, ni Yezidis. Je ne parle pas des autochtones de la région, les Arméniens, que Bakou a massacrés dès le jour de sa formation, de 1918-19 à 1989 et aujourd’hui. Le plan de Bakou ne fonctionne plus. La République d’Arménie Occidentale a déjà pris des mesures actives et, comme nous l’avons mentionné à plusieurs reprises, la CEDH a déjà engagé des poursuites judiciaires contre Bakou sur la base de la procuration donnée à notre président Armenag Aprahamian par les Arméniens de Chouchi. Cette résolution du Parlement européen en est une preuve évidente.