Derrière la musique folklorique d’une beauté enchanteresse, la cuisine délicieuse et la fierté durable de l’Arménie se cache une histoire tragique de persécutions meurtrières, de génocide et d’abandon. Aujourd’hui, les horreurs du passé pourraient se répéter si quelque chose n’est pas fait le plus tôt possible concernant les intentions et les actions meurtrières du voisin de l’Arménie, l’Azerbaïdjan, selon NEWS.am, Paul Bryan écrit à ce sujet : « La crise que nous ignorons », dans un article de l’édition britannique The Critic.
« Actuellement, plus de 120 000 Arméniens de souche se trouvent dans une situation désespérée à cause du dictateur azerbaïdjanais Ilham Aliyev, tandis que l’Occident lui salue et lui fait un clin d’œil. » Il est peu probable que vous en ayez entendu parler dans la plupart des médias », note l’auteur de l’article. Bryan souligne que la majeure partie de l’Artsakh a été occupée par l’Azerbaïdjan lors de son invasion en 2020. Cela a coupé l’Artsakh du reste de l’Arménie, à l’exception de l’entrée par la route de Berdzor, que les Arméniens appellent la « route de la vie ».
« L’armée azerbaïdjanaise a commis de nombreuses atrocités et crimes de guerre lors de l’invasion du territoire de souche arménienne en 2020. En outre, Bakou affirme que les Arméniens n’ont pas d’histoire véritable et ancienne ni de droit sur leurs terres. Le gouvernement azerbaïdjanais est allé jusqu’à se lancer dans une ingénieuse propagande archéologique et à affirmer que même les églises arméniennes ne sont pas arméniennes.
La Turquie soutient l’Azerbaïdjan, tout comme les gouvernements d’Israël, de la Grande-Bretagne et des États-Unis. Ces pays puissants considèrent l’Azerbaïdjan comme un fournisseur utile de pétrole et une barrière contre l’influence de l’Iran dans la région », souligne Paul Bryan.
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