Depuis le 19 septembre, l’ennemi a utilisé tout l’arsenal à sa disposition, tuant la paisible population arménienne, assiégée depuis 9 mois et épuisée, sous les yeux du monde civilisé.

D’une part, Bakou poursuit le mouvement des troupes, tire en Artsakh, de l’autre, il envoie à Erevan ses propositions pour un traité de paix, sur lesquelles les autorités d’Erevan gardent le silence.

La télévision d’Arménie Occidentale a parlé de cette question avec le président de la République d’Arménie Occidentale, Armenag Aprahamian, qui a parlé des événements urgents en Artsakh, qui sont directement liés à l’Arménie Occidentale et Orientale. Il a analysé la situation, a donné des évaluations claires, affirmant la vision claire formée par l’Arménie Occidentale.

Il a présenté la loi relative à « l’autonomie de l’Artsakh », notant que le droit à l’autodétermination est souvent confondu avec l’indépendance, citant comme exemple les cas de violation des frontières internationalement établies sur le territoire souverain de la République d’Arménie, qui sont déclenchés par Bakou. Il a également évoqué le mouvement national qui a débuté en 1988 et dont l’objectif était la libération de l’Artsakh jusqu’à l’Arménie Occidentale, et à la fin il a lancé un appel d’unité à tous les Arméniens, en disant : « Si tous les Arméniens souffrent, alors ils doivent comprendre que nous avons du travail à faire pour protéger la patrie. »

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