À la suite de l’agression militaire contre l’Artsakh, au moins 1456 monuments remarquables, essentiellement liés à l’histoire et à la culture arméniennes, dont 161 monastères et églises, 591 khachkars, les sites antiques de Tigranakert, Azokh, Nor Karmiravan, Mirik, Keren et de nombreux forts, les forteresses et les sanctuaires restèrent sous le contrôle de Bakou, ainsi que d’autres monuments. 

8 musées d’État avec  19311 objets sont passés sous le contrôle de Bakou. La diffusion délibérée par Bakou de fausses informations sur le patrimoine culturel arménien de l’Artsakh et la politique d’« albanisation » des monuments culturels, qui mettent également le patrimoine culturel arménien du territoire de l’Artsakh sous menace de destruction. 

L’analyse des cas cités et du contexte de haine arménienne montre que la destruction et la déformation du patrimoine culturel arménien sont systématiques et généralisées. Les actions et les déclarations des organes de l’État et des personnalités publiques de Bakou prouvent qu’il s’agit d’une politique d’État particulière basée sur une politique criminelle visant à encourager la haine contre la nation arménienne.